mardi 7 mai 2013

Schloss Sans Souci in Potsdam - Le château de Sans Souci à Potsdam


 Wir sind mit der S-Bahn  und dann mit einem Bus zum Schloss Sans Souci gefahren, er befindet sich westlich von der Potsdamer Innenstadt.






 Die Geschichte des Schlosses Sans Souci ist eng mit dem Leben von Friedrich dem 2.  verbunden (1712-1786), der auch "Friedrich der Große" oder der "Alte Fritz" genannt wird. Inspiriert von der wunderbaren Aussicht wählte der Preußenkönig den "Wüstenberg" als Standort für seine zukünftige Sommerresidenz aus. Zunächst ließ Friedrich der Große an dieser natürlichen Erhebung eine Sonnenterrasse anlegen, um hier Wein zu kultivieren. Der Name Sans Souci - ohne Sorge- ist der Leitmotiv des Königs « Unbeschwert und sorgenfrei ». Er verbrachte seine Sommermonate hier mit seinen Hunden. Es war sein Lieblingsort und wichtiges Refugium in schwierigen Zeiten. "Das deutsche Versailles", so könnte man es ausdrücken...



Eine gigantische Treppe bahnt sich ihren Weg mitten durch die insgesamt sechs Weinbergterrassen. Über die 132 Treppenstufen gelangt man hinauf zum Schloss, das im Stil des Rokoko errichtet ist.  Am kuppelbekrönten Mittelbau ist der Name des Schlosses zu lesen:« SANS SOUCI ».

Die Innenräume vom Schloss Sans Souci können nur mit einer Führung besichtigt werden.




Der eingeschossige Bau vom Schloss Sanssouci beherbergt insgesamt zwölf prachtvolle Räume. Im Marmorsaal lud Friedrich der Große gern Wissenschaftler, Philosophen, Diplomaten und Künstler zu seinen berühmten Tafelrunden. Unter ihnen weilte auch der Franzose François-Marie Arouet besser bekannt als Voltaire.





La bibliothèque


Seine musikalischen Künste auf der Querflöte gab der König im Konzertzimmer zum Besten. Zu den königlichen Privaträumen gehörte auch eine Bibliothek. Hierher zog sich Friedrich der Große gerne zum Studium französischer und antiker Klassiker zurück. 
Bureau et chambre de Frédéric II et couloirs d'accès
Le fauteuil où s'éteignit Frédéric II de Prusse

Friedrich II. (1712-1786) qui est aussi appelé "Friedrich le grand" ou le"vieux Fritz". Merveilleusement inspiré, le roi de Prusse avait choisi la colline comme emplacement pour sa future résidence d'été. Par la suite Frédéric le Grand a créé à cet emplacement en hauteur une terrasse ensoleillée pour y cultiver le vin. Le nom 'Sans Souci' était le leitmotiv du roi «léger et sans soucis». Il passait ses mois d'été ici avec ses chiens. C'était son endroit préféré et son refuge indispensable lors des temps difficiles. Le Versailles allemand ! Ainsi pourrait-on l'appeler !
Un escalier gigantesque se fraie un chemin à travers les six terrasses du vignoble. Au delà des 132 marches, on arrive au château. Il est construit dans le style rococo. Au centre de la coupole , on peut lire le nom du château "SANS SOUCI".
Les pièces intérieures du château Sans Souci peuvent être visitées uniquement avec un guide.


Salon où le roi jouait de la flûte traversière pour ses hôtes
La salle d'attente où on pouvait admirer les tableaux

La salle des fêtes où on déjeunait entre 12 heures et 15 heures

La construction de plain-pied du château Sans Souci abrite un total de douze magnifiques salles. Dans la salle de marbre, Frédéric Le Grand invitait volontiers des scientifiques, des philosophes, des diplomates et des artistes pour ses célèbres tables rondes. Parmi eux, séjourna le Français François-Marie Arouet, mieux connu sous le nom de Voltaire.




Le roi régalait ses invités mélomanes à la flûte traversière dans la salle de concert.

On y discutait aussi avec des poètes et des amateurs d'art. Une bibliothèque appartenait aussi aux espaces privés royaux. C'est là que Frédéric le Grand se retirait volontiers pour étudier d'anciens classiques français.
En hommage à Frédéric II des visiteurs déposent des pommes de terre sur sa tombe.
Frédéric II essaya par tous les moyens de développer de façon extensive la culture de la pomme de terre. On dit qu'il planta les premières et les fit entretenir par ses soldats. Alors, les paysans, comme l'espérait le roi, dérobèrent et goûtèrent cette "pomme". Plus tard ils la firent pousser eux-mêmes, un édit du roi, publié en 1756, en ordonnant la culture.
En France, c'est Parmentier, qui, captif en Prusse, l'avait découverte comme principale nourriture fournie aux prisonniers. Il en fit la promotion et réussit à développer son usage dans toutes les couches de la société.



                                                                                       


                                                                                           

 Gwendoline

Le Pavillon Chinois dans le Parc
 




Le grand Palais



 

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